Le canada de nos jours présente une grande variété de cultures et est une place idéale pour les immigrants. C’est avec tous ces immigrants que le Canada est maintenant un pays très multiculturel. Dans les romans Alexis, fils de Raphael, et Toronto je t’aime, le multiculturalisme est présenté à travers des immigrants d’Haïti et d’Afrique qui découvrent un nouveau monde au Canada et doivent surmonter des obstacles. Ils découvrent un tout nouveau mode de vie et de nouvelles cultures auxquelles ils ne sont pas habitués. La réalité qu’ils découvrent, sans vraiment s’en apercevoir ou le mentionner, c’est que le Canada est un grand regroupement de différentes cultures.
Dans les romans de Marie-Célie Agnant, les nouveaux arrivants au Canada trouvent leur ancrage dans la réalité sociale contemporaine en abordant les thèmes de l’exclusion, la solitude, le racisme et l’exil. Dans le premier volume de la série d’Alexis, Alexis d’Haïti, Marie-Célie retrace l’épopée de cet enfant d’Haïti, obligé de quitter l’ile après que son père ait été emprisonné. Avec quarante autres personnes, ils embarquent sur un voilier, ils échouent sur la plage de Key West où les policiers les amènent à un camp de réfugiés. Alexis se révolte et incite les siens à agir, à se tenir ensemble et réclamer leur liberté. Dans le deuxième volume, Alexis, fils de Raphael, Alexis et sa mère Jeanine se retrouvent à Miami, où ils n’aiment pas les nuages gris et les personnes qui y habitent. Le jeune garçon et sa mère sont confrontés à la réalité américaine et au mépris des agents de l’immigration. Le thème de l’exclusion est maintenant introduit ainsi que les thèmes de la solitude et de l’exil qui ont été présenté dans le camp de réfugiés. Ils vont finalement être libres quand Étienne, frère de la mère d’Alexis, obtient l’autorisation de les parrainer à Montréal. Alexis s’adapte très rapidement grâce à l’école et aux ami(e)s qu’il s’y fait, surtout Sara Blanchot. Ensembles, ils forment un comité nommé SAJMECA et leur but est de libérer Raphael Jolet, le père d’Alexis. Après plusieurs lettres au gouvernement canadien et haïtien, le comité SAJMECA réussit à apporter Raphael à sa famille maintenant situé au Canada. Mais l’action des jeunes ne s’arrête pas là. En plus de vouloir faire le bonheur de leurs parents, ils songent à s’en prendre au racisme et à la violence faite aux jeunes Noirs. Les thèmes tels que l’exclusion, la solitude, le racisme et l’exil sont présent à travers tout le récit et les aventures d’Alexis Jolet.
Marie-Célie Agnant aborde un sujet brûlant d’actualité qui fait régulièrement les manchettes télévisées ou la presse écrite, celui des fugitifs de la mer qui cherchent à rejoindre de nouvelles terres hospitalières, à l’abri de la torture. Par la situation douloureuse des fugitifs, l’auteure se permet de questionner le pouvoir politique de son pays d’origine, Haïti, et d’exprimer la douleur ressentie par ceux et celles qui doivent s’enfuir sous peine de tortures. Ceci fait vivre l’espoir et ouvre de nouveaux horizons aux fugitifs, malgré les difficultés qui affectent les personnages. Son histoire présente la douleur ressentie à chaque jour, tant par les jeunes que par les adultes, sans montrer aux jeunes lecteurs les horreurs que ces situations peuvent amener (dénonciations, traitrises, tortures et mises à mort). Le contexte historique facilite l’exploitation de thèmes associés à la guerre, à la liberté, à l’exil et à la construction identitaire du jeune héro avide d’aventures et d’autonomie. C’est ainsi que se déroule les aventures d’Alexis dans la mini série de Marie-Célie Agnant.
Le roman Alexis, fils de Raphael écrit par Marie-Célie Agnant est une histoire qui représente le multiculturalisme à son meilleur. Les aventures d’Alexis et de sa mère Jeanine démontrent parfaitement la vie et la situation des immigrants de nos jours ainsi que les défis qu’ils doivent surmonter, tels que l’adaptation aux nouveaux pays, aux gouvernements qui peuvent les exilés dans des camps de réfugiés et les agents d’immigrations qui exploitent les immigrants ou qui ne leur donnent pas aucune chance. L’auteur démontre à travers les expériences des deux immigrants que le Canada ouvre plus facilement ses portes aux nouveaux venus et ne les exploite pas autant que les États-Unis. Elle démontre néanmoins qu’il y a quand même des problèmes de racisme qui existent, même dans les pays où les immigrants ne sont pas exploités. L’auteur fait une très bonne interprétation avec ce qui ce passe dans le livre et les problèmes de la réalité.
Le style de langage utilisé dans le roman Alexis, fils de Raphael par Marie-Célie Agnant est très simple et facile à comprendre. Il y a des moments par contre dans le livre où les mots et les phrases s’enjambent pour créer des paragraphes qui n’ajoutent pas de valeur à l’histoire. À ces moments, l’histoire semble s’éterniser ce qui diminue l’enthousiasme pour finir la lecture du roman. En disant cela, les structures de phrases dans les différents contextes sont bien utilisées malgré toute l’information provenant de l’auteure.
Le contexte historique utilisé par Marie-Célie Agnant dans son roman Alexis, fils de Raphael est très précis, intriguant, ainsi que réel. Les réfugiés d’Haïti qui débarquent à Key West, situé au sud de la Floride, qui sont ensuite exilés dans des camps de réfugiés, où ils sont privés de vivre une vie normal. Ceci est en réalité un vrai problème et le contexte utilisé dans le roman est très précis à la vie courante. Il y a plusieurs réfugiés venus d’autres pays qui ont été exilés dans des camps aux États-Unis, et même une fois en liberté, ils se font exploiter par les habitants. Quand Alexis et sa mère Jeanine essayent de libérer Raphael de la prison pour le faire venir vivre avec eux, les agents d’immigrations ne les laissent pas faire, simplement parce qu’ils sont d’une différente culture. Par contre, une fois rendu au Canada, ce fut beaucoup moins un problème à le faire venir qu’aux États-Unis. Ceci est aussi une réalité qui se produit de plus en plus chaque jour. Au Canada, l’immigration est évalué cas par cas, tandis qu’aux États-Unis, c’est plus une règle; ils sont tous traités pareils. Pour un résultat favorable, il est plus facile de faire venir des immigrants au Canada qu’aux États-Unis et c’est pour cela que le Canada est un pays tellement aimé et multiculturelle. Le contexte que Marie-Cécile apporte dans son roman Alexis, fils de Raphael est tellement précis quant aux évènements qui se déroulent dans la réalité qu’on dirait qu’elle est en train de raconter son histoire d’enfance à travers Alexis. Ce roman représente les défis que les gens ont aux États-Unis pour faire venir un ou des membres de leur famille pour vivre avec eux. Ce fut beaucoup de travail pour faire venir le père d’Alexis avec eux; ils ont du endurer les agents de l’immigration qui ne sont pas tellement gentils ainsi que la vie dans la ville de Miami, qu’Alexis et sa mère n’ont pas aimé. Après être allé vivre avec Etienne au Canada, il y a eu beaucoup de stress pour Jeanine quand Alexis a rencontré de nouveaux ami(e)s et qu’ils ont décidé de créer un comité pour faire venir son père.
En général, ce roman écrit par Marie-Célie Agnant à été très agréable et aborde, un sujet intéressant où elle présente des situations que la plupart d’entre nous n’auront pas à vivre et même jamais à penser. Ceci nous fait comprendre une nouvelle facette de la vie et ouvre une nouvelle porte de compréhension et de respect envers les immigrants et les défis qu’ils doivent surmonter pour finalement vivre une vie normal. Les problèmes que la plupart des adolescents canadiens confrontent impliquent leurs parents, tandis que pour Alexis, c’était de libérer son peuple des camps de réfugiés et libérer son père de la prison. Donc cet information nous donne un nouvel aspect de ce que les immigrants doivent passer à travers pour seulement avoir une vie simple comme nous avons.
Pour conclure, le livre Alexis, fils de Raphael est un très bon livre pour nous aider à comprendre la vie d’un réfugié. Marie-Célie démontre comment difficile la vie d’un réfugié est et comment il est difficile de s’adapter au mode de vie des gens d’un nouveau pays. On peut maintenant respecter le fait que les réfugiés ont la vie difficile, que c’est compliqué pour eux de vivre une vie simple avec tout les problèmes de racisme, d’exploitation et d’exil qui existent dans notre monde. Plus un pays est multiculturelle, plus ce pays peu être beau et paisible, mais il peut aussi déclencher des conflits entre les différentes cultures.
Le roman Toronto, je t’aime écrit par Didier Leclair a surpris plusieurs individu, l’histoire est mordante. Un été, un jeune Africain du nom de Raymond débarque à Toronto avec seulement une vieille carte postale de la rue Yonge et l’adresse d’un ami d’enfance. Raymond n’a rien à offrir, mais il veut tout de ce que Toronto a à offrir. Une fois arrivé au Canada, il rencontre Bob, Joseph et Koffi, des Noirs comme lui qui connaissent Eddy, l’ami d’enfance de Raymond. Tous avec différentes histoires et différentes opinions sur la vie, Raymond essaye de partager leur point de vue. Néanmoins la vie à Toronto n’est pas si facile pour Raymond. À la fois attirante et séduisante, Toronto le harcelle alors qu’il est encore hanté par son passé. Il ne peut pas arrêter de penser au passé. Il rêve souvent de ses aventures dans son pays d’origine, surtout de son amoureuse Bijoux la généreuse et les moments intimes qu’il a eu avec elle. Un matin, Raymond se fait réveiller par Maria, une jolie femme qui aide les garçons de temps en temps. Maria amène Raymond pour un tour d’auto après l’avoir inviter d’une façon bien inattendue. Raymond a plein de questions sur toutes les activités qui se passent à Toronto et est intrigué par l’habitude des gens qui se promènent presque nues, ou en maillot de bain. Complètement entouré d’émotions et perdu dans l’amour de cette nouvelle ville, Raymond essaye de chasser ses histoires du passé tout en recommençant une nouvelle vie.
Le style et langage interprété par Didier Leclair dans son roman Toronto, je t’aime est complexe mais à la fois facile à comprendre. Le style et le choix de mots que Didier a choisi dans son livre est clairement pour une ou un lecteur d’âge mature puisqu’il y a plusieurs contextes explicites. Similaire au roman de Marie-Célie Agnant, il y a des passages où les explications sont trop longues ce qui rend la lecture difficile. Par contre, pour un lecteur d’un âge plus mature, le roman de Didier peut paraitre plus attrayant que celui de Marie-Célie à cause du contexte, le style et les choix de mots utilisés. « Bijou s’enfonça avec hargne comme pour sonder le tréfonds d’elle-même et je sentis son sexe humide répandre sur ma verge le déluge de son appétit. »(Leclair 26-27) Ceci est un exemple de texte où un lecteur plus jeune qui aurait lu cette phrase ne comprendrait probablement pas ce qui est en train de se produire. Le contexte utilisé dans cet exemple est un peu vulgaire pour expliquer que le personnage principal est en manque de son amour de l’Afrique. Tout ceci peut être démontré d’une façon un peu plus simple et moins vulgaire et n’a rien à faire avec le multiculturalisme.
Comparer au contexte historique dans le livre Alexis, fils de Raphael, celui dans le livre de Didier Leclair est moins précis quant à la réalité. L’histoire racontée dans le roman Toronto, je t’aime est celui de Didier Leclair lui-même. C’est l’aventure que l’auteur à eu quand il était plus jeune, mais on ne peut pas savoir si tout les immigrants d’Afrique suivent la même piste ou soutiennent les mêmes opinions présentées par Raymond dans le livre à propos de Toronto. Le roman présente un contexte pour certains individus, et non pour tout les immigrants, tandis que pour le roman de Marie-Célie, il s’applique pour la grand majorité des immigrants qui passent par les États-Unis avant leur arrivé au Canada. Toronto, je t’aime démontre aussi la vie d’un immigrant qui essaye de fuir son passé pour commencer une autre vie, tandis que Alexis, fils de Raphael, comme mentionné si dessus, est l’histoire d’une famille qui veut qu’un ou des membres de leur famille encore dans leur pays d’origine viennent vivre avec eux. Comparer à l’histoire de Raymond l’africain, Alexis et sa mère Jeanine ont eu beaucoup plus de difficultés que lui. Les seuls défis que Raymond a due surmonter est l’adaptation a un nouveau style de vie des habitants de Toronto et essayer d’oublier son passé bourré de terreurs et d’amours. Dans le livre de Marie-Célie, il y a beaucoup de problèmes et de confusions pour passer d’un pays à un autre, tandis que dans le roman de Didier, il ne mentionne aucun problème d’immigration car il est de nationalité canadienne par sa naissance. «Ce roman est l’histoire d’une quête vers un avenir meilleur, il raconte l’histoire de cet immigrant qui arrive seul et doit vite s’adapter.»¹ (Didier Leclair) C’est ce que l’auteur constate et c’est le grand problème chez Raymond. Didier s’identifie à cette histoire, sauf que la seule différence est qu’il est né au Canada et a vécu sa jeunesse entre le Bénin et le Gabon. Au fait, Didier ne voulait pas identifier les problèmes que l’immigrant aurait, mais plutôt identifié les qualités que présente la ville de Toronto. Son message dans le livre est que lorsqu’il est revenu de l’Afrique pour découvrir Toronto, il n’était pas prêt, il se pensait toujours en Afrique et aurait aimé voir les mêmes choses qu’en l’Afrique. Il a vu une ville où toutes les cultures vivent côte à côte, sans problèmes. Le message a très bien été compris quand Didier Leclair est allé faire un discours à l’école du Collège Français. Ce message est bien présenté dans son livre et c’est pourquoi le roman de Marie-Célie Agnant Alexis, fils de Raphael est tellement différent. Les deux livres présentent des opinions différentes ; un livre montre les problèmes qu’il y a avec les immigrants et l’autre montre les belles qualités d’une ville et l’harmonie entre les différentes cultures. Le fait que le personnage principal ne peut pas oublier son passé en Afrique, incluant les moments intimes qu’il a eu avec Bijou son amour, n’a rien à voir avec le multiculturalisme. Le message de Didier Leclair montre l’interaction et l’harmonie entre les différentes cultures dans la ville de Toronto.
En général, le roman Toronto, je t’aime est un roman très bien écrit qui ouvre nos yeux pour mieux comprendre la situation des immigrants qui arrivent dans un nouveau pays avec absolument rien en poche. Par contre, il n’a pas beaucoup de problèmes situés au personnage principal du livre, mais plutôt une description de la ville qu’il habite et les gens qu’il côtoie. Il y a des passages dans le livre qui n’ont aucun rapport avec le multiculturalisme et est expliqué d’une façon inattendue et pas très nécessaire. Il y a beaucoup de sauts dans le temps entre les chapitres et il y a plusieurs chapitres. Une fois que l’histoire commence à se dérouler et avance rapidement dans l’action, l’histoire change avec un nouveau chapitre qui nous ramène dans le temps ou nous situe dans un autre lieu. Le message de Didier Leclair est présent dans toutes les nouvelles aventures de Raymond à Toronto et est très claire pour le lecteur.
Le thème du multiculturalisme est présent dans les deux travaux de littérature ci-dessus. La seule différence est que dans le livre Alexis, fils de Raphael, le multiculturalisme est présenté à travers un pays, tandis que dans le livre Toronto, je t’aime, il est présenté à travers une ville. On peut voir dans le roman de Marie-Célie Agnant la différence qu’apporte le multiculturalisme au Canada en comparaison avec les États-Unis. Au Canada, le multiculturalisme, ou l’immigration n’est pas traité comme une règle générale, mais il est plutôt évaluer cas par cas. Tandis qu’au États-Unis, il est traité plus généralement. Tous les immigrants sont traités de la même manière. On peut démontrer cela avec des exemples du livre. Lorsque qu’ils étaient aux États-Unis, Alexis et sa mère ont essayé plusieurs fois de libérer Raphael, le père d’Alexis, mais à cause des agents d’immigrations à Miami, ils n’ont jamais eu le droit de faire les démarches pour l’amener vivre avec eux. Une fois arrivé au Canada par contre, avec l’aide de l’oncle Étienne qui les a parrainer et un comité construit par les nouveaux ami(e)s d’Alexis, ils libèrent Raphael et finalement leur prières sont exhaussées. Si le Canada n’était pas aussi ouvert aux immigrants, il ne serait pas un pays aussi riche en cultures et ne serait pas une place idéale pour les immigrants ou les réfugiés de mer comme Alexis et sa mère.
Le Canada a la réputation d’être une nation multiculturelle. Cela signifie que les Canadiens n’ont pas les mêmes origines raciales ou culturelles, ils ne partagent pas un héritage unique. Le Canada d’aujourd’hui comprend une vaste diversité culturelle et raciale, qui est le résultat de plusieurs siècles d’immigration. Cela ne veut pas dire que la grande majorité des canadiens actuels sont des immigrés ; moins de 16% des citoyens d’aujourd’hui sont nés à l’étranger. Cela ne veut pas dire que l’immigration au Canada est ouverte à tous, au contraire des États-Unis, le statut d’immigrant au Canada est un privilège et non un droit.
La représentation de la réalité francophone qui se dégage dans le livre Alexis, fils de Raphael est très claire une fois qu’ils immigrent au Canada. Quand Alexis et sa mère Jeanine ont l’autorisation de se faire parrainer par l’oncle Étienne à Montréal, la différence dans l’utilisation de la langue française est remarquable. Quand ils habitaient à Miami, Alexis et sa mère avaient beaucoup de difficulté à comprendre les gens parce qu’ils parlaient l’anglais, une langue que, surtout Jeanine, avait de la difficulté à suivre. Alexis commençait à se débrouiller très facilement avec l’anglais, mais il n’en a plus besoin parce que lorsqu’il arriva à Montréal, au Québec, il découvre que la communauté est surtout française. Québec est une province où la très grande majorité des habitants parlent français comme langue première. Il est donc surpris à son arrivé par le nombre de francophone qui habitent à Montréal. Malheureusement, dans le livre Toronto, je t’aime, on ne retrouve pas la même représentation francophone. Raymond arrive à Toronto en parlant le français et l’auteur ne mentionne pas qu’il a de la misère parce qu’il ne comprend pas ou ne parle pas l’anglais. Aussi, Toronto n’est pas une place où la langue principale est le français, mais plutôt une ville anglophone où on y parle plusieurs langues. Didier Leclair ne mentionne pas non plus dans son livre les différents groupements francophones qui sont présents dans la ville de Toronto, et Raymond a surement retrouvé un de ces groupes car il ne mentionne pas aucun problème avec les différentes langues. À présent, je me situe dans une des nombreuses régions francophones des environs de Toronto. Bien sur, ces régions francophones sont bien dispersées mais ils sont bien représentés à travers Toronto. Je fais aussi partie des groupes francophone qui se situe au Québec puisque mes parents sont originaires de cette province francophone et on la visite souvent.
En conclusion, le multiculturalisme est présent dans les deux œuvres mentionnés ci-dessus ainsi que partout autour de nous. La francophonie est aussi présentée dans les deux œuvres lues et nous le vivons.
Bibliographie
Agnant, Marie-Célie. Alexis, fils de Raphael. Éditions Hurtubise HMH Itée.
Montréal, 2000.
Leclair, Didier. Toronto, je t’aime. Éditions du Vermillon, Ottawa, 2000.
http://www.mta.ca/faculty/arts/canadian_studies/francais/realites/multi/
http://parfumdelivres.niceboard.com/t6895-marie-celie-agnant-haiti
http://www.productionsrhizome.org/extraits/USLV_docpromo_web_2011. pdf
¹ http://www.lexpress.to/archives/2032/
FRA4U:Philippe
mardi 21 juin 2011
mardi 14 juin 2011
Intro
Le canada de nos jours présente une grande variété de culture et est une place primordiale pour les immigrants. C’est avec tous ces immigrants que le Canada est maintenant rendu un pays très multiculturalisme. Dans les romans Alexis, fils de Raphael, et Toronto, je t’aime, le multiculturalisme est présenté à travers des immigrants de l’Haïti et de l’Afrique qui découvre un nouveau monde au Canada et doivent surmonter des obstacles. Ils découvrent en surmontant ces obstacles les différents mode de vie et les différentes cultures rassembler au Canada. La réalité qu’ils découvrent, sans vraiment s’en apercevoir ou le mentionner c’est que le Canada est un grand regroupement de différent culture.
samedi 30 avril 2011
La consommation d'alcool chez les adolescents
De nos jours, les adolescents se pensent toujours supérieures que les adultes. Ils croient avoir les mêmes privilèges que les adultes, incluant un des plus grands problèmes, ce qui est la consommation d’alcool chez les mineurs. Depuis 1993, le taux de jeunes adultes et adolescents consommant de l’alcool augmente très rapidement. Tellement rapidement, que c’est rendu à plus que la moitié de la population des adolescents qui consomment de l’alcool. Même avec les lois strictes du gouvernement concernant la consommation d’alcool chez les mineurs, ils continuent tout de même à en consommer. Alors on peut se demander, pourquoi doit-on vraiment limité l’âge de consommation d’alcool. On peut aussi se poser la question de qu’est-ce qu’on peut faire pour diminuer la consommation d’alcool chez les adolescents, car la situation, déjà grave, ne fais que s’empirer. La raison pourquoi le gouvernement a impliqué un âge limite de consommation d’alcool est basé sur la maturité, la responsabilité et la capacité de faire des bons choix raisonnables dans la vie. Leur niveau de maturité et de responsabilité n’est pas très haut, et c’est pour cela que l’âge limite pour consommer de l’alcool est haut.
La première consommation
De nos jours, l’alcool est rendu à être un mode de vie pour les adolescents parce qu’ils sont introduits à l’alcool à un âge tellement jeune. La première introduction et consommation de l’alcool chez les adolescents est fait à l’âge moyen de 12 ans pours les garçons et 13 ans pour les filles. Bien sure, cette première rencontre et consommation avec l’alcool est sous le cadre familiale, sous la supervision des parents. Par contre, des adolescents aussi jeunes que 13 ans ont déclaré avoir consommé de l’alcool dans leur vie en dehors de la maison sous aucune supervision d’un parent. L’âge moyen de 12 et 13 ans de première consommation, en famille, à diminué de 6 mois depuis 2001. Avec l’introduction de la bière à un tel âge, ça peut influencer le jeune à être irresponsables et à se trouver dans des situations très difficile. Les adolescents ne sont pas prêts à consommer de l’alcool à cet âge car ils ne sont pas assez responsables.
Une grande responsabilité
La période de l’adolescence est une partie de la vie durant laquelle nous apprenons à nous connaitre nous-mêmes. Par contre, l’adolescence représente aussi la transition entre l’enfance et l’âge adulte. L’esprit est toujours prêt à s’amuser, mais nous devons soudainement céder la place au rôle de jeune adulte responsable et autonome. C’est donc pourquoi ils pensent pouvoir disposer des mêmes privilèges que les adultes, comme boire de l’alcool, sortir dans les bars et les boites de nuit, etc. Le problème avec cela c’est qu’ils n’ont pas encore atteint la maturité et ne voient pas nécessairement les conséquences que ces «privilèges» peuvent entrainer. L’âge légal au Canada est 19 ans, sauf pour les provinces du Québec, Manitoba et l’Alberta, où c’est 18 ans. Toutefois, trois quarts, donc 75,5%, des jeunes canadiens âgé(e)s entre 15 et 24 affirment avoir consommé de l’alcool au cours des 12 dernier mois. Par ailleurs, les manières utilisées par les mineurs afin de se procurer de l’alcool sont interdites par la loi, tout comme la consommation de l’alcool. Par exemple, le fait de fournir ou de se servir de cartes d’identités autres que les nôtres ou des cartes d’identités fausses pour s’acheter de l’alcool est une infraction, citée dans le Code criminel canadien.
« Commet une infraction quiconque, sciemment, obtient ou a en sa possession des renseignements identificateurs sur une autre personne dans des circonstances qui permettent de conclure raisonnablement qu’ils seront utilises dans l’intention de commettre un acte criminel dont l’un des éléments constitutifs est la fraude, la supercherie ou le mensonge. » (402.2 du Code criminel canadien).
De plus, les conséquences de la consommation de l’alcool, pour tout individu, ralentis l’activité du cerveau. L’alcool peut aussi:
- Te rendre violent;
- Te faire perdre conscience de dangers potentiels (alcool au volant);
- T’entraîner à avoir des rapports sexuels non voulus;
- T’entraîner à consommé d’autres substances illicites.
Les adolescents ont l’envie de vivre des émotions fortes, des limites à dépasser, profiter de tout et à fond sans se soucier du lendemain. Mais les limites, une fois dépassées, attirent parfois de mauvaises fins.
Les États-Unis sont ainsi aux prises avec un grave problème de conduite avec facultés affaiblies chez les jeunes adultes.
L’âge légal pour boire : 21 ans?
Malgré l’âge légal fixé pour consommer l’alcool aux États-Unis, les consommateurs d’alcool âgés de 18 à 21 ans ont manifesté la plus importante augmentation (56%) de cuites d’un soir parmi les adultes américain, entre 1993 et 2001, suivi des jeunes adultes de 21 à 25 ans. Malgré la tolérance zéro officielle, 21% des conducteurs de 16 à 20 ans impliqués dans des collisions mortelles avaient un taux d’alcoolémie de 100 mg % ou plus en 1999. Cela veut dire 100 milligrammes d’alcool dans 100 millilitres de sang. Les taux les plus élevés de conduite en état d’ébriété au Canada se retrouvent parmi les jeunes adultes. En 2002, les conducteurs âgés de 19 à 24 ans ont représenté 56% des accidents rapportés, d’où 44% des conducteurs blessés mortellement âgées de 20 à 25 ans avaient consommé de l’alcool. Ce problème de conduite en état d’ébriété chez les jeunes adultes est loin d’être résolu.
Si les 13 provinces et territoires du Canada rendaient illégale la consommation d’alcool jusqu’à 21 ans, comme chez notre voisin les États-Unis, est-ce que la situation s’améliorerait? Ou est-ce seulement une solution rapide ayant peu de chance de succès. Les statistiques démontrent que le taux le plus élevé de conduite avec facultés affaiblies est à l’âge de 21 ans. Alors pourquoi établir l’âge légal de consommation d’alcool à l’âge où la conduite avec facultés affaiblies est à son taux le plus élevé?
Augmenter l’âge légal pour la consommation d’alcool pourrait aussi bien causer plus de problèmes qu’en régler. Le Canada doit trouver des solutions intelligentes qui visent les améliorations à long terme, qui tient compte de la psychologie humaine, de l’efficacité des couts et des impacts possibles.
Quelle intervention peut limiter la consommation d’alcool chez les adolescents?
La consommation et l’abus d’alcool chez les adolescents (12 à 19) reste un point de préoccupation, la moitié d’entre eux avoue avoir été au moins une fois ivre. Un usage excessif d’alcool dans cette tranche de vie est associé à un risque plus élevé d’abus d’alcool à l’âge adulte. Les interventions visant à en limiter l’usage ciblent aussi bien l’adolescent que sa famille. Pour les individus, des thérapies comportementales, cognitives ou non, ou des entretiens motivationnels pour diminuer la consommation d’alcool sont disponibles. Pour les familles, les thérapies les plus utilisées sont la thérapie multi systémique, comportementale cognitive et familiale intégrée, familiale multidimensionnelle, ainsi que familiale stratégique courte. Les résultats de ces thérapies : La diminution d’alcool, donc nombre de jours de consommation et nombre de consommations.
Conclusion
Pour conclure, les adolescents ne devraient pas avoir les même « privilèges » que les adultes car ils ne possèdent pas le même niveau de responsabilités et de maturité. Il est claire que la consommation et l’abus d’alcool est un problème qui ne cesse de grandir chez les adolescents, et ça peut affecter le futur de tout les adolescent qui en consomme.
La première consommation
De nos jours, l’alcool est rendu à être un mode de vie pour les adolescents parce qu’ils sont introduits à l’alcool à un âge tellement jeune. La première introduction et consommation de l’alcool chez les adolescents est fait à l’âge moyen de 12 ans pours les garçons et 13 ans pour les filles. Bien sure, cette première rencontre et consommation avec l’alcool est sous le cadre familiale, sous la supervision des parents. Par contre, des adolescents aussi jeunes que 13 ans ont déclaré avoir consommé de l’alcool dans leur vie en dehors de la maison sous aucune supervision d’un parent. L’âge moyen de 12 et 13 ans de première consommation, en famille, à diminué de 6 mois depuis 2001. Avec l’introduction de la bière à un tel âge, ça peut influencer le jeune à être irresponsables et à se trouver dans des situations très difficile. Les adolescents ne sont pas prêts à consommer de l’alcool à cet âge car ils ne sont pas assez responsables.
Une grande responsabilité
La période de l’adolescence est une partie de la vie durant laquelle nous apprenons à nous connaitre nous-mêmes. Par contre, l’adolescence représente aussi la transition entre l’enfance et l’âge adulte. L’esprit est toujours prêt à s’amuser, mais nous devons soudainement céder la place au rôle de jeune adulte responsable et autonome. C’est donc pourquoi ils pensent pouvoir disposer des mêmes privilèges que les adultes, comme boire de l’alcool, sortir dans les bars et les boites de nuit, etc. Le problème avec cela c’est qu’ils n’ont pas encore atteint la maturité et ne voient pas nécessairement les conséquences que ces «privilèges» peuvent entrainer. L’âge légal au Canada est 19 ans, sauf pour les provinces du Québec, Manitoba et l’Alberta, où c’est 18 ans. Toutefois, trois quarts, donc 75,5%, des jeunes canadiens âgé(e)s entre 15 et 24 affirment avoir consommé de l’alcool au cours des 12 dernier mois. Par ailleurs, les manières utilisées par les mineurs afin de se procurer de l’alcool sont interdites par la loi, tout comme la consommation de l’alcool. Par exemple, le fait de fournir ou de se servir de cartes d’identités autres que les nôtres ou des cartes d’identités fausses pour s’acheter de l’alcool est une infraction, citée dans le Code criminel canadien.
« Commet une infraction quiconque, sciemment, obtient ou a en sa possession des renseignements identificateurs sur une autre personne dans des circonstances qui permettent de conclure raisonnablement qu’ils seront utilises dans l’intention de commettre un acte criminel dont l’un des éléments constitutifs est la fraude, la supercherie ou le mensonge. » (402.2 du Code criminel canadien).
De plus, les conséquences de la consommation de l’alcool, pour tout individu, ralentis l’activité du cerveau. L’alcool peut aussi:
- Te rendre violent;
- Te faire perdre conscience de dangers potentiels (alcool au volant);
- T’entraîner à avoir des rapports sexuels non voulus;
- T’entraîner à consommé d’autres substances illicites.
Les adolescents ont l’envie de vivre des émotions fortes, des limites à dépasser, profiter de tout et à fond sans se soucier du lendemain. Mais les limites, une fois dépassées, attirent parfois de mauvaises fins.
Les États-Unis sont ainsi aux prises avec un grave problème de conduite avec facultés affaiblies chez les jeunes adultes.
L’âge légal pour boire : 21 ans?
Malgré l’âge légal fixé pour consommer l’alcool aux États-Unis, les consommateurs d’alcool âgés de 18 à 21 ans ont manifesté la plus importante augmentation (56%) de cuites d’un soir parmi les adultes américain, entre 1993 et 2001, suivi des jeunes adultes de 21 à 25 ans. Malgré la tolérance zéro officielle, 21% des conducteurs de 16 à 20 ans impliqués dans des collisions mortelles avaient un taux d’alcoolémie de 100 mg % ou plus en 1999. Cela veut dire 100 milligrammes d’alcool dans 100 millilitres de sang. Les taux les plus élevés de conduite en état d’ébriété au Canada se retrouvent parmi les jeunes adultes. En 2002, les conducteurs âgés de 19 à 24 ans ont représenté 56% des accidents rapportés, d’où 44% des conducteurs blessés mortellement âgées de 20 à 25 ans avaient consommé de l’alcool. Ce problème de conduite en état d’ébriété chez les jeunes adultes est loin d’être résolu.
Si les 13 provinces et territoires du Canada rendaient illégale la consommation d’alcool jusqu’à 21 ans, comme chez notre voisin les États-Unis, est-ce que la situation s’améliorerait? Ou est-ce seulement une solution rapide ayant peu de chance de succès. Les statistiques démontrent que le taux le plus élevé de conduite avec facultés affaiblies est à l’âge de 21 ans. Alors pourquoi établir l’âge légal de consommation d’alcool à l’âge où la conduite avec facultés affaiblies est à son taux le plus élevé?
Augmenter l’âge légal pour la consommation d’alcool pourrait aussi bien causer plus de problèmes qu’en régler. Le Canada doit trouver des solutions intelligentes qui visent les améliorations à long terme, qui tient compte de la psychologie humaine, de l’efficacité des couts et des impacts possibles.
Quelle intervention peut limiter la consommation d’alcool chez les adolescents?
La consommation et l’abus d’alcool chez les adolescents (12 à 19) reste un point de préoccupation, la moitié d’entre eux avoue avoir été au moins une fois ivre. Un usage excessif d’alcool dans cette tranche de vie est associé à un risque plus élevé d’abus d’alcool à l’âge adulte. Les interventions visant à en limiter l’usage ciblent aussi bien l’adolescent que sa famille. Pour les individus, des thérapies comportementales, cognitives ou non, ou des entretiens motivationnels pour diminuer la consommation d’alcool sont disponibles. Pour les familles, les thérapies les plus utilisées sont la thérapie multi systémique, comportementale cognitive et familiale intégrée, familiale multidimensionnelle, ainsi que familiale stratégique courte. Les résultats de ces thérapies : La diminution d’alcool, donc nombre de jours de consommation et nombre de consommations.
Conclusion
Pour conclure, les adolescents ne devraient pas avoir les même « privilèges » que les adultes car ils ne possèdent pas le même niveau de responsabilités et de maturité. Il est claire que la consommation et l’abus d’alcool est un problème qui ne cesse de grandir chez les adolescents, et ça peut affecter le futur de tout les adolescent qui en consomme.
mardi 12 avril 2011
Analyse littéraire du Horla
Le Horla, un être surhumain, terrasse le narrateur chaque nuit et lui boit sa vie. Guy De Maupassant, l’auteur du Horla, raconte sa folie et la terreur qu'il subit et cette folie le conduira à plusieurs actions toutes plus insensées les unes que les autres. À la fin, il arrive même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques. Guy De Maupassant parle à la première personne du singulier et le livre est écrit sous forme de journal intime. Le Horla est en fait le résultat d’une série de conte qui partent d’un sentiment de doublement puis à un être surnaturel. Le héro, qui est continuellement torturé par le Horla, essaye de se délivrer de son emprise. Ce qui est intéressant dans cette histoire est que l’auteur met des doutes dans notre esprit par rapport à l’existence du Horla. Par moments il nous fait penser que le Horla existe vraiment puis il est clair qu’il imagine cet être imperceptible. Le thème du Horla de Guy De Maupassant est l’encontre de l’invisible. Le genre du livre le Horla est classé dans le genre du fantastique et est écrit sous forme de journal intime. La première version du Horla est présentée sous forme d’une lettre personnelle du personnage principal adressé à un médecin. Le titre de ce journal est intituler Lettre d’un fou. Le champ lexical du Horla : -Perception : Claire, voir, regarder, lire, apercevoir, yeux, distinguer. -L’angoisse et de l’effroi : Dévorer, Comme j’eu peur!, frissonner. La cause du mystère de l’invisible est parce que Maupassant souffrait de troubles, surtout avec l’impression de se voir à l’extérieur de lui, qu’il était étranger à la personne qui voyait dans le miroir, donc le personnage principal du Horla reflète la vie de Maupassant du mystère de l’invisible. Les effets du mystère de l’invisible est que le personnage principal, ou le narrateur, à perdue la tête, il hallucinait, entendait des bruits, il devient fou et paranoïaque. Il pense que n’importe où il va, n’importe quoi qu’il fait il va être suivit par cet être invisible qui le hante durant toute l’histoire. Les conséquences du mystère de l’invisible est qu’il devient fou, il a perdu la raison et sa maison au complet parce qu’il l’a brulé en pensant qu’il brulera le Horla avec elle. Quand il réalise que le Horla n’est pas «mort », il se suicide.
dimanche 27 mars 2011
Le réveil
Je suis bien confortable, même trop confortable. Tellement confortable que si je devais être dérangé, il me faudra une éternité, un nombre impossible d’heures pour redevenir à l’état de ma quiétude. Cependant il me semble que quelque chose d’improbable, que tout le monde haïs dans la vie va se produire. Je suis immobile, des milliers et une pensé me passent par la tête, mais je les laisse passer pour profiter du seul moment de la journée où je peux être vraiment à l’aise, vraiment au repos. Mon corps entier est engourdi par le sommeil et j’ai de la douleur en bougeant. Cette douleur, néanmoins profonde, me procure plus de bonheur que du mal. Je suis à moitié éveillé, à moitié endormi. Je me sens faible, écrasé dans mon matelas par mes couvertures fines et douces. Tout est parfait, on dirait que le temps s’est arrêté. Et je sursaute, surpris par une pensée qui n’a pas voulu continuée, qui n’a pas voulu me laisser tranquille. Pourtant il me semble presque impossible, mais très probable, que le même cauchemar me revient encore, à chaque matin, pour me déranger de ce paisible sommeil. Le temps s’est remis à avancer mais en double comme si je voyageais dans le temps. Je commence à mijoter dans mon lit, comme si cette pensée me chatouillait en cherchant à me faire bouger de mon palais de confort. Et je sursaute encore une fois, cette fois frappé par un coup violent de sons incompréhensibles. Ces nouveaux sons, qui me paraissent comme une langue étrangère, me font peur, tant que mon cœur a tressailli, voulant sortir de ma poitrine, me faisant relever à une position assise. Je prends un moment, reprenant mon souffle et essayant de deviner ce qui vient de se produire. Était-ce une crise de cœur ou simplement une crampe musculaire dans ma poitrine? Mon cœur bat à une vitesse de record mondial. Lentement, ma respiration redevient normale. Ces sons qui m’ont alarmé, vibrent encore dans l’air. Je me recouche, étendu dans mon lit, complètement écarté sur la surface du matelas. Les sons qui dansent éternellement dans l’air pénètrent mon oreille, me permettant de comprendre leur sens et leur origine. Je tourne ma tête pour apercevoir mon réveille-matin, qui émet encore ces sons assommants, et je réalise aussi l’heure qu’il affiche. Mon cœur se remet à battre à pleine vitesse. J’éteins mon réveil matinal, je me recouche et me disant que je vais me retrouver dans l’eau chaude quand mes ascendants reviendront… car j’ai manqué mon autobus.
vendredi 4 mars 2011
La liberté vient-elle a un prix?
Dans le texte de Mario Daigle, « Pour que tout le monde respire », l’auteur explique que punir les fumeurs en les isolants des non-fumeurs n’est pas nécessairement les guérir. Pour améliorer la santé de la communauté, il faut leur aider, pas leur taper sur les mains. Mario critique le gouvernement pour ne pas aider les fumeurs à être sans fumé et d’essayer de séparer les fumeurs des non-fumeurs. Est-ce que les fumeurs sont en train de devenir des criminels parce qu’ils fument? Les fumeurs devraient avoir une certaine liberté quand à fumer où ils veulent, tout en respectant l’espace et la santé des non-fumeurs. Pour avoir une jouissance avec l’usage du tabac, ils ont besoin de la liberté, et ils commencent à perdre cette liberté pour le confort et la santé des non-fumeurs. Aussi, la société pense que les fumeurs sont des criminels parce qu’ils nuisent à la santé des non-fumeurs
La liberté s’arrête où commence celle de l’autre. «Il semble évident que pour occuper en même temps le même espace, il y en a un des deux qui devra vivre dans l’inconfort», dit l’historien Américain Francis Brooks. Les gens qui voient d’autres qui fument les voient comme une nuisance à la communauté, même des criminels. Les seuls qui sont en fautes c’est ceux qui jugent les gens qui on une cigarette en main. Fumer est un choix personnel dans la vie de quelqu’un et ne devraient pas être considérer un acte criminel pour plaire aux non-fumeurs. De nos jours, la liberté est si sacré qu’il surpasse le bon sens.
Effectivement, tout le monde essaye de faire des changements pour qu’ils ne soient pas affectés. Le maire de New York, Michael Bloomberg, commence un projet de loi pour but d’interdire la consommation du tabac dans les places publiques comme les plages, les parcs et certains centres urbains très fréquentés comme Time Square. Les non-fumeurs seront surement satisfaits de ce nouveau projet de loi mais que pensent les fumeurs? De façon assez surprenante, les directives de la loi semblent être assez bien respectées. Je suis sure que les fumeurs pensent qu’ils devraient avoir plus de liberté et s’ils le pensent, ils devraient parler plus fort. Les non-fumeurs, sous aucun contexte, devraient avoir plus de droits que les fumeurs. Le droit des fumeurs de fumer, que ce soit en cachette ou dans des lieux spécifiés, les amènent lentement a leur mort, c’est pourquoi le gouvernement devraient investir dans des programmes pour aider les gens à arrêter de fumer. Ces programmes pourraient varier de simples concours à des programmes complexes impliquant des thérapies comme l’hypnotisme et des patches de nicotine.
En conclusion, respecter les droits d’un groupe ne devrait pas empiéter sur le droit des autres. Par contre, donner le droit aux fumeurs de fumer nuis a leur santé ainsi qu’a celle des gens qui les entourent. Une solution serait d’investir dans les programmes pour aider les fumeurs à arrêter de fumer et diminuer les mesures interdisant les fumeurs de fumer en laissant aux entreprises une certaine marge de manœuvre pour accommoder leurs employés qui fument. Non les fumeurs ne sont pas des criminels, mais si on laisse le gouvernement continuer dans la direction où il s’en va, les fumeurs pourraient bientôt l’être.
La liberté s’arrête où commence celle de l’autre. «Il semble évident que pour occuper en même temps le même espace, il y en a un des deux qui devra vivre dans l’inconfort», dit l’historien Américain Francis Brooks. Les gens qui voient d’autres qui fument les voient comme une nuisance à la communauté, même des criminels. Les seuls qui sont en fautes c’est ceux qui jugent les gens qui on une cigarette en main. Fumer est un choix personnel dans la vie de quelqu’un et ne devraient pas être considérer un acte criminel pour plaire aux non-fumeurs. De nos jours, la liberté est si sacré qu’il surpasse le bon sens.
Effectivement, tout le monde essaye de faire des changements pour qu’ils ne soient pas affectés. Le maire de New York, Michael Bloomberg, commence un projet de loi pour but d’interdire la consommation du tabac dans les places publiques comme les plages, les parcs et certains centres urbains très fréquentés comme Time Square. Les non-fumeurs seront surement satisfaits de ce nouveau projet de loi mais que pensent les fumeurs? De façon assez surprenante, les directives de la loi semblent être assez bien respectées. Je suis sure que les fumeurs pensent qu’ils devraient avoir plus de liberté et s’ils le pensent, ils devraient parler plus fort. Les non-fumeurs, sous aucun contexte, devraient avoir plus de droits que les fumeurs. Le droit des fumeurs de fumer, que ce soit en cachette ou dans des lieux spécifiés, les amènent lentement a leur mort, c’est pourquoi le gouvernement devraient investir dans des programmes pour aider les gens à arrêter de fumer. Ces programmes pourraient varier de simples concours à des programmes complexes impliquant des thérapies comme l’hypnotisme et des patches de nicotine.
En conclusion, respecter les droits d’un groupe ne devrait pas empiéter sur le droit des autres. Par contre, donner le droit aux fumeurs de fumer nuis a leur santé ainsi qu’a celle des gens qui les entourent. Une solution serait d’investir dans les programmes pour aider les fumeurs à arrêter de fumer et diminuer les mesures interdisant les fumeurs de fumer en laissant aux entreprises une certaine marge de manœuvre pour accommoder leurs employés qui fument. Non les fumeurs ne sont pas des criminels, mais si on laisse le gouvernement continuer dans la direction où il s’en va, les fumeurs pourraient bientôt l’être.
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