dimanche 27 mars 2011
Le réveil
Je suis bien confortable, même trop confortable. Tellement confortable que si je devais être dérangé, il me faudra une éternité, un nombre impossible d’heures pour redevenir à l’état de ma quiétude. Cependant il me semble que quelque chose d’improbable, que tout le monde haïs dans la vie va se produire. Je suis immobile, des milliers et une pensé me passent par la tête, mais je les laisse passer pour profiter du seul moment de la journée où je peux être vraiment à l’aise, vraiment au repos. Mon corps entier est engourdi par le sommeil et j’ai de la douleur en bougeant. Cette douleur, néanmoins profonde, me procure plus de bonheur que du mal. Je suis à moitié éveillé, à moitié endormi. Je me sens faible, écrasé dans mon matelas par mes couvertures fines et douces. Tout est parfait, on dirait que le temps s’est arrêté. Et je sursaute, surpris par une pensée qui n’a pas voulu continuée, qui n’a pas voulu me laisser tranquille. Pourtant il me semble presque impossible, mais très probable, que le même cauchemar me revient encore, à chaque matin, pour me déranger de ce paisible sommeil. Le temps s’est remis à avancer mais en double comme si je voyageais dans le temps. Je commence à mijoter dans mon lit, comme si cette pensée me chatouillait en cherchant à me faire bouger de mon palais de confort. Et je sursaute encore une fois, cette fois frappé par un coup violent de sons incompréhensibles. Ces nouveaux sons, qui me paraissent comme une langue étrangère, me font peur, tant que mon cœur a tressailli, voulant sortir de ma poitrine, me faisant relever à une position assise. Je prends un moment, reprenant mon souffle et essayant de deviner ce qui vient de se produire. Était-ce une crise de cœur ou simplement une crampe musculaire dans ma poitrine? Mon cœur bat à une vitesse de record mondial. Lentement, ma respiration redevient normale. Ces sons qui m’ont alarmé, vibrent encore dans l’air. Je me recouche, étendu dans mon lit, complètement écarté sur la surface du matelas. Les sons qui dansent éternellement dans l’air pénètrent mon oreille, me permettant de comprendre leur sens et leur origine. Je tourne ma tête pour apercevoir mon réveille-matin, qui émet encore ces sons assommants, et je réalise aussi l’heure qu’il affiche. Mon cœur se remet à battre à pleine vitesse. J’éteins mon réveil matinal, je me recouche et me disant que je vais me retrouver dans l’eau chaude quand mes ascendants reviendront… car j’ai manqué mon autobus.
vendredi 4 mars 2011
La liberté vient-elle a un prix?
Dans le texte de Mario Daigle, « Pour que tout le monde respire », l’auteur explique que punir les fumeurs en les isolants des non-fumeurs n’est pas nécessairement les guérir. Pour améliorer la santé de la communauté, il faut leur aider, pas leur taper sur les mains. Mario critique le gouvernement pour ne pas aider les fumeurs à être sans fumé et d’essayer de séparer les fumeurs des non-fumeurs. Est-ce que les fumeurs sont en train de devenir des criminels parce qu’ils fument? Les fumeurs devraient avoir une certaine liberté quand à fumer où ils veulent, tout en respectant l’espace et la santé des non-fumeurs. Pour avoir une jouissance avec l’usage du tabac, ils ont besoin de la liberté, et ils commencent à perdre cette liberté pour le confort et la santé des non-fumeurs. Aussi, la société pense que les fumeurs sont des criminels parce qu’ils nuisent à la santé des non-fumeurs
La liberté s’arrête où commence celle de l’autre. «Il semble évident que pour occuper en même temps le même espace, il y en a un des deux qui devra vivre dans l’inconfort», dit l’historien Américain Francis Brooks. Les gens qui voient d’autres qui fument les voient comme une nuisance à la communauté, même des criminels. Les seuls qui sont en fautes c’est ceux qui jugent les gens qui on une cigarette en main. Fumer est un choix personnel dans la vie de quelqu’un et ne devraient pas être considérer un acte criminel pour plaire aux non-fumeurs. De nos jours, la liberté est si sacré qu’il surpasse le bon sens.
Effectivement, tout le monde essaye de faire des changements pour qu’ils ne soient pas affectés. Le maire de New York, Michael Bloomberg, commence un projet de loi pour but d’interdire la consommation du tabac dans les places publiques comme les plages, les parcs et certains centres urbains très fréquentés comme Time Square. Les non-fumeurs seront surement satisfaits de ce nouveau projet de loi mais que pensent les fumeurs? De façon assez surprenante, les directives de la loi semblent être assez bien respectées. Je suis sure que les fumeurs pensent qu’ils devraient avoir plus de liberté et s’ils le pensent, ils devraient parler plus fort. Les non-fumeurs, sous aucun contexte, devraient avoir plus de droits que les fumeurs. Le droit des fumeurs de fumer, que ce soit en cachette ou dans des lieux spécifiés, les amènent lentement a leur mort, c’est pourquoi le gouvernement devraient investir dans des programmes pour aider les gens à arrêter de fumer. Ces programmes pourraient varier de simples concours à des programmes complexes impliquant des thérapies comme l’hypnotisme et des patches de nicotine.
En conclusion, respecter les droits d’un groupe ne devrait pas empiéter sur le droit des autres. Par contre, donner le droit aux fumeurs de fumer nuis a leur santé ainsi qu’a celle des gens qui les entourent. Une solution serait d’investir dans les programmes pour aider les fumeurs à arrêter de fumer et diminuer les mesures interdisant les fumeurs de fumer en laissant aux entreprises une certaine marge de manœuvre pour accommoder leurs employés qui fument. Non les fumeurs ne sont pas des criminels, mais si on laisse le gouvernement continuer dans la direction où il s’en va, les fumeurs pourraient bientôt l’être.
La liberté s’arrête où commence celle de l’autre. «Il semble évident que pour occuper en même temps le même espace, il y en a un des deux qui devra vivre dans l’inconfort», dit l’historien Américain Francis Brooks. Les gens qui voient d’autres qui fument les voient comme une nuisance à la communauté, même des criminels. Les seuls qui sont en fautes c’est ceux qui jugent les gens qui on une cigarette en main. Fumer est un choix personnel dans la vie de quelqu’un et ne devraient pas être considérer un acte criminel pour plaire aux non-fumeurs. De nos jours, la liberté est si sacré qu’il surpasse le bon sens.
Effectivement, tout le monde essaye de faire des changements pour qu’ils ne soient pas affectés. Le maire de New York, Michael Bloomberg, commence un projet de loi pour but d’interdire la consommation du tabac dans les places publiques comme les plages, les parcs et certains centres urbains très fréquentés comme Time Square. Les non-fumeurs seront surement satisfaits de ce nouveau projet de loi mais que pensent les fumeurs? De façon assez surprenante, les directives de la loi semblent être assez bien respectées. Je suis sure que les fumeurs pensent qu’ils devraient avoir plus de liberté et s’ils le pensent, ils devraient parler plus fort. Les non-fumeurs, sous aucun contexte, devraient avoir plus de droits que les fumeurs. Le droit des fumeurs de fumer, que ce soit en cachette ou dans des lieux spécifiés, les amènent lentement a leur mort, c’est pourquoi le gouvernement devraient investir dans des programmes pour aider les gens à arrêter de fumer. Ces programmes pourraient varier de simples concours à des programmes complexes impliquant des thérapies comme l’hypnotisme et des patches de nicotine.
En conclusion, respecter les droits d’un groupe ne devrait pas empiéter sur le droit des autres. Par contre, donner le droit aux fumeurs de fumer nuis a leur santé ainsi qu’a celle des gens qui les entourent. Une solution serait d’investir dans les programmes pour aider les fumeurs à arrêter de fumer et diminuer les mesures interdisant les fumeurs de fumer en laissant aux entreprises une certaine marge de manœuvre pour accommoder leurs employés qui fument. Non les fumeurs ne sont pas des criminels, mais si on laisse le gouvernement continuer dans la direction où il s’en va, les fumeurs pourraient bientôt l’être.
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