samedi 30 avril 2011

La consommation d'alcool chez les adolescents

De nos jours, les adolescents se pensent toujours supérieures que les adultes. Ils croient avoir les mêmes privilèges que les adultes, incluant un des plus grands problèmes, ce qui est la consommation d’alcool chez les mineurs. Depuis 1993, le taux de jeunes adultes et adolescents consommant de l’alcool augmente très rapidement. Tellement rapidement, que c’est rendu à plus que la moitié de la population des adolescents qui consomment de l’alcool. Même avec les lois strictes du gouvernement concernant la consommation d’alcool chez les mineurs, ils continuent tout de même à en consommer. Alors on peut se demander, pourquoi doit-on vraiment limité l’âge de consommation d’alcool. On peut aussi se poser la question de qu’est-ce qu’on peut faire pour diminuer la consommation d’alcool chez les adolescents, car la situation, déjà grave, ne fais que s’empirer. La raison pourquoi le gouvernement a impliqué un âge limite de consommation d’alcool est basé sur la maturité, la responsabilité et la capacité de faire des bons choix raisonnables dans la vie. Leur niveau de maturité et de responsabilité n’est pas très haut, et c’est pour cela que l’âge limite pour consommer de l’alcool est haut.
La première consommation
De nos jours, l’alcool est rendu à être un mode de vie pour les adolescents parce qu’ils sont introduits à l’alcool à un âge tellement jeune. La première introduction et consommation de l’alcool chez les adolescents est fait à l’âge moyen de 12 ans pours les garçons et 13 ans pour les filles. Bien sure, cette première rencontre et consommation avec l’alcool est sous le cadre familiale, sous la supervision des parents. Par contre, des adolescents aussi jeunes que 13 ans ont déclaré avoir consommé de l’alcool dans leur vie en dehors de la maison sous aucune supervision d’un parent. L’âge moyen de 12 et 13 ans de première consommation, en famille, à diminué de 6 mois depuis 2001. Avec l’introduction de la bière à un tel âge, ça peut influencer le jeune à être irresponsables et à se trouver dans des situations très difficile. Les adolescents ne sont pas prêts à consommer de l’alcool à cet âge car ils ne sont pas assez responsables.


Une grande responsabilité
La période de l’adolescence est une partie de la vie durant laquelle nous apprenons à nous connaitre nous-mêmes. Par contre, l’adolescence représente aussi la transition entre l’enfance et l’âge adulte. L’esprit est toujours prêt à s’amuser, mais nous devons soudainement céder la place au rôle de jeune adulte responsable et autonome. C’est donc pourquoi ils pensent pouvoir disposer des mêmes privilèges que les adultes, comme boire de l’alcool, sortir dans les bars et les boites de nuit, etc. Le problème avec cela c’est qu’ils n’ont pas encore atteint la maturité et ne voient pas nécessairement les conséquences que ces «privilèges» peuvent entrainer. L’âge légal au Canada est 19 ans, sauf pour les provinces du Québec, Manitoba et l’Alberta, où c’est 18 ans. Toutefois, trois quarts, donc 75,5%, des jeunes canadiens âgé(e)s entre 15 et 24 affirment avoir consommé de l’alcool au cours des 12 dernier mois. Par ailleurs, les manières utilisées par les mineurs afin de se procurer de l’alcool sont interdites par la loi, tout comme la consommation de l’alcool. Par exemple, le fait de fournir ou de se servir de cartes d’identités autres que les nôtres ou des cartes d’identités fausses pour s’acheter de l’alcool est une infraction, citée dans le Code criminel canadien.

« Commet une infraction quiconque, sciemment, obtient ou a en sa possession des renseignements identificateurs sur une autre personne dans des circonstances qui permettent de conclure raisonnablement qu’ils seront utilises dans l’intention de commettre un acte criminel dont l’un des éléments constitutifs est la fraude, la supercherie ou le mensonge. » (402.2 du Code criminel canadien).
De plus, les conséquences de la consommation de l’alcool, pour tout individu, ralentis l’activité du cerveau. L’alcool peut aussi:
- Te rendre violent;
- Te faire perdre conscience de dangers potentiels (alcool au volant);
- T’entraîner à avoir des rapports sexuels non voulus;
- T’entraîner à consommé d’autres substances illicites.
Les adolescents ont l’envie de vivre des émotions fortes, des limites à dépasser, profiter de tout et à fond sans se soucier du lendemain. Mais les limites, une fois dépassées, attirent parfois de mauvaises fins.
Les États-Unis sont ainsi aux prises avec un grave problème de conduite avec facultés affaiblies chez les jeunes adultes.
L’âge légal pour boire : 21 ans?
Malgré l’âge légal fixé pour consommer l’alcool aux États-Unis, les consommateurs d’alcool âgés de 18 à 21 ans ont manifesté la plus importante augmentation (56%) de cuites d’un soir parmi les adultes américain, entre 1993 et 2001, suivi des jeunes adultes de 21 à 25 ans. Malgré la tolérance zéro officielle, 21% des conducteurs de 16 à 20 ans impliqués dans des collisions mortelles avaient un taux d’alcoolémie de 100 mg % ou plus en 1999. Cela veut dire 100 milligrammes d’alcool dans 100 millilitres de sang. Les taux les plus élevés de conduite en état d’ébriété au Canada se retrouvent parmi les jeunes adultes. En 2002, les conducteurs âgés de 19 à 24 ans ont représenté 56% des accidents rapportés, d’où 44% des conducteurs blessés mortellement âgées de 20 à 25 ans avaient consommé de l’alcool. Ce problème de conduite en état d’ébriété chez les jeunes adultes est loin d’être résolu.
Si les 13 provinces et territoires du Canada rendaient illégale la consommation d’alcool jusqu’à 21 ans, comme chez notre voisin les États-Unis, est-ce que la situation s’améliorerait? Ou est-ce seulement une solution rapide ayant peu de chance de succès. Les statistiques démontrent que le taux le plus élevé de conduite avec facultés affaiblies est à l’âge de 21 ans. Alors pourquoi établir l’âge légal de consommation d’alcool à l’âge où la conduite avec facultés affaiblies est à son taux le plus élevé?
Augmenter l’âge légal pour la consommation d’alcool pourrait aussi bien causer plus de problèmes qu’en régler. Le Canada doit trouver des solutions intelligentes qui visent les améliorations à long terme, qui tient compte de la psychologie humaine, de l’efficacité des couts et des impacts possibles.
Quelle intervention peut limiter la consommation d’alcool chez les adolescents?
La consommation et l’abus d’alcool chez les adolescents (12 à 19) reste un point de préoccupation, la moitié d’entre eux avoue avoir été au moins une fois ivre. Un usage excessif d’alcool dans cette tranche de vie est associé à un risque plus élevé d’abus d’alcool à l’âge adulte. Les interventions visant à en limiter l’usage ciblent aussi bien l’adolescent que sa famille. Pour les individus, des thérapies comportementales, cognitives ou non, ou des entretiens motivationnels pour diminuer la consommation d’alcool sont disponibles. Pour les familles, les thérapies les plus utilisées sont la thérapie multi systémique, comportementale cognitive et familiale intégrée, familiale multidimensionnelle, ainsi que familiale stratégique courte. Les résultats de ces thérapies : La diminution d’alcool, donc nombre de jours de consommation et nombre de consommations.
Conclusion
Pour conclure, les adolescents ne devraient pas avoir les même « privilèges » que les adultes car ils ne possèdent pas le même niveau de responsabilités et de maturité. Il est claire que la consommation et l’abus d’alcool est un problème qui ne cesse de grandir chez les adolescents, et ça peut affecter le futur de tout les adolescent qui en consomme.

mardi 12 avril 2011

Analyse littéraire du Horla

Le Horla, un être surhumain, terrasse le narrateur chaque nuit et lui boit sa vie. Guy De Maupassant, l’auteur du Horla, raconte sa folie et la terreur qu'il subit et cette folie le conduira à plusieurs actions toutes plus insensées les unes que les autres. À la fin, il arrive même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques. Guy De Maupassant parle à la première personne du singulier et le livre est écrit sous forme de journal intime. Le Horla est en fait le résultat d’une série de conte qui partent d’un sentiment de doublement puis à un être surnaturel. Le héro, qui est continuellement torturé par le Horla, essaye de se délivrer de son emprise. Ce qui est intéressant dans cette histoire est que l’auteur met des doutes dans notre esprit par rapport à l’existence du Horla. Par moments il nous fait penser que le Horla existe vraiment puis il est clair qu’il imagine cet être imperceptible. Le thème du Horla de Guy De Maupassant est l’encontre de l’invisible. Le genre du livre le Horla est classé dans le genre du fantastique et est écrit sous forme de journal intime. La première version du Horla est présentée sous forme d’une lettre personnelle du personnage principal adressé à un médecin. Le titre de ce journal est intituler Lettre d’un fou. Le champ lexical du Horla : -Perception : Claire, voir, regarder, lire, apercevoir, yeux, distinguer. -L’angoisse et de l’effroi : Dévorer, Comme j’eu peur!, frissonner. La cause du mystère de l’invisible est parce que Maupassant souffrait de troubles, surtout avec l’impression de se voir à l’extérieur de lui, qu’il était étranger à la personne qui voyait dans le miroir, donc le personnage principal du Horla reflète la vie de Maupassant du mystère de l’invisible. Les effets du mystère de l’invisible est que le personnage principal, ou le narrateur, à perdue la tête, il hallucinait, entendait des bruits, il devient fou et paranoïaque. Il pense que n’importe où il va, n’importe quoi qu’il fait il va être suivit par cet être invisible qui le hante durant toute l’histoire. Les conséquences du mystère de l’invisible est qu’il devient fou, il a perdu la raison et sa maison au complet parce qu’il l’a brulé en pensant qu’il brulera le Horla avec elle. Quand il réalise que le Horla n’est pas «mort », il se suicide.