mardi 21 juin 2011

PPCS-Le multiculturalisme

Le canada de nos jours présente une grande variété de cultures et est une place idéale pour les immigrants. C’est avec tous ces immigrants que le Canada est maintenant un pays très multiculturel. Dans les romans Alexis, fils de Raphael, et Toronto je t’aime, le multiculturalisme est présenté à travers des immigrants d’Haïti et d’Afrique qui découvrent un nouveau monde au Canada et doivent surmonter des obstacles. Ils découvrent un tout nouveau mode de vie et de nouvelles cultures auxquelles ils ne sont pas habitués. La réalité qu’ils découvrent, sans vraiment s’en apercevoir ou le mentionner, c’est que le Canada est un grand regroupement de différentes cultures.
Dans les romans de Marie-Célie Agnant, les nouveaux arrivants au Canada trouvent leur ancrage dans la réalité sociale contemporaine en abordant les thèmes de l’exclusion, la solitude, le racisme et l’exil. Dans le premier volume de la série d’Alexis, Alexis d’Haïti, Marie-Célie retrace l’épopée de cet enfant d’Haïti, obligé de quitter l’ile après que son père ait été emprisonné. Avec quarante autres personnes, ils embarquent sur un voilier, ils échouent sur la plage de Key West où les policiers les amènent à un camp de réfugiés. Alexis se révolte et incite les siens à agir, à se tenir ensemble et réclamer leur liberté. Dans le deuxième volume, Alexis, fils de Raphael, Alexis et sa mère Jeanine se retrouvent à Miami, où ils n’aiment pas les nuages gris et les personnes qui y habitent. Le jeune garçon et sa mère sont confrontés à la réalité américaine et au mépris des agents de l’immigration. Le thème de l’exclusion est maintenant introduit ainsi que les thèmes de la solitude et de l’exil qui ont été présenté dans le camp de réfugiés. Ils vont finalement être libres quand Étienne, frère de la mère d’Alexis, obtient l’autorisation de les parrainer à Montréal. Alexis s’adapte très rapidement grâce à l’école et aux ami(e)s qu’il s’y fait, surtout Sara Blanchot. Ensembles, ils forment un comité nommé SAJMECA et leur but est de libérer Raphael Jolet, le père d’Alexis. Après plusieurs lettres au gouvernement canadien et haïtien, le comité SAJMECA réussit à apporter Raphael à sa famille maintenant situé au Canada. Mais l’action des jeunes ne s’arrête pas là. En plus de vouloir faire le bonheur de leurs parents, ils songent à s’en prendre au racisme et à la violence faite aux jeunes Noirs. Les thèmes tels que l’exclusion, la solitude, le racisme et l’exil sont présent à travers tout le récit et les aventures d’Alexis Jolet.
Marie-Célie Agnant aborde un sujet brûlant d’actualité qui fait régulièrement les manchettes télévisées ou la presse écrite, celui des fugitifs de la mer qui cherchent à rejoindre de nouvelles terres hospitalières, à l’abri de la torture. Par la situation douloureuse des fugitifs, l’auteure se permet de questionner le pouvoir politique de son pays d’origine, Haïti, et d’exprimer la douleur ressentie par ceux et celles qui doivent s’enfuir sous peine de tortures. Ceci fait vivre l’espoir et ouvre de nouveaux horizons aux fugitifs, malgré les difficultés qui affectent les personnages. Son histoire présente la douleur ressentie à chaque jour, tant par les jeunes que par les adultes, sans montrer aux jeunes lecteurs les horreurs que ces situations peuvent amener (dénonciations, traitrises, tortures et mises à mort). Le contexte historique facilite l’exploitation de thèmes associés à la guerre, à la liberté, à l’exil et à la construction identitaire du jeune héro avide d’aventures et d’autonomie. C’est ainsi que se déroule les aventures d’Alexis dans la mini série de Marie-Célie Agnant.
Le roman Alexis, fils de Raphael écrit par Marie-Célie Agnant est une histoire qui représente le multiculturalisme à son meilleur. Les aventures d’Alexis et de sa mère Jeanine démontrent parfaitement la vie et la situation des immigrants de nos jours ainsi que les défis qu’ils doivent surmonter, tels que l’adaptation aux nouveaux pays, aux gouvernements qui peuvent les exilés dans des camps de réfugiés et les agents d’immigrations qui exploitent les immigrants ou qui ne leur donnent pas aucune chance. L’auteur démontre à travers les expériences des deux immigrants que le Canada ouvre plus facilement ses portes aux nouveaux venus et ne les exploite pas autant que les États-Unis. Elle démontre néanmoins qu’il y a quand même des problèmes de racisme qui existent, même dans les pays où les immigrants ne sont pas exploités. L’auteur fait une très bonne interprétation avec ce qui ce passe dans le livre et les problèmes de la réalité.
Le style de langage utilisé dans le roman Alexis, fils de Raphael par Marie-Célie Agnant est très simple et facile à comprendre. Il y a des moments par contre dans le livre où les mots et les phrases s’enjambent pour créer des paragraphes qui n’ajoutent pas de valeur à l’histoire. À ces moments, l’histoire semble s’éterniser ce qui diminue l’enthousiasme pour finir la lecture du roman. En disant cela, les structures de phrases dans les différents contextes sont bien utilisées malgré toute l’information provenant de l’auteure.
Le contexte historique utilisé par Marie-Célie Agnant dans son roman Alexis, fils de Raphael est très précis, intriguant, ainsi que réel. Les réfugiés d’Haïti qui débarquent à Key West, situé au sud de la Floride, qui sont ensuite exilés dans des camps de réfugiés, où ils sont privés de vivre une vie normal. Ceci est en réalité un vrai problème et le contexte utilisé dans le roman est très précis à la vie courante. Il y a plusieurs réfugiés venus d’autres pays qui ont été exilés dans des camps aux États-Unis, et même une fois en liberté, ils se font exploiter par les habitants. Quand Alexis et sa mère Jeanine essayent de libérer Raphael de la prison pour le faire venir vivre avec eux, les agents d’immigrations ne les laissent pas faire, simplement parce qu’ils sont d’une différente culture. Par contre, une fois rendu au Canada, ce fut beaucoup moins un problème à le faire venir qu’aux États-Unis. Ceci est aussi une réalité qui se produit de plus en plus chaque jour. Au Canada, l’immigration est évalué cas par cas, tandis qu’aux États-Unis, c’est plus une règle; ils sont tous traités pareils. Pour un résultat favorable, il est plus facile de faire venir des immigrants au Canada qu’aux États-Unis et c’est pour cela que le Canada est un pays tellement aimé et multiculturelle. Le contexte que Marie-Cécile apporte dans son roman Alexis, fils de Raphael est tellement précis quant aux évènements qui se déroulent dans la réalité qu’on dirait qu’elle est en train de raconter son histoire d’enfance à travers Alexis. Ce roman représente les défis que les gens ont aux États-Unis pour faire venir un ou des membres de leur famille pour vivre avec eux. Ce fut beaucoup de travail pour faire venir le père d’Alexis avec eux; ils ont du endurer les agents de l’immigration qui ne sont pas tellement gentils ainsi que la vie dans la ville de Miami, qu’Alexis et sa mère n’ont pas aimé. Après être allé vivre avec Etienne au Canada, il y a eu beaucoup de stress pour Jeanine quand Alexis a rencontré de nouveaux ami(e)s et qu’ils ont décidé de créer un comité pour faire venir son père.
En général, ce roman écrit par Marie-Célie Agnant à été très agréable et aborde, un sujet intéressant où elle présente des situations que la plupart d’entre nous n’auront pas à vivre et même jamais à penser. Ceci nous fait comprendre une nouvelle facette de la vie et ouvre une nouvelle porte de compréhension et de respect envers les immigrants et les défis qu’ils doivent surmonter pour finalement vivre une vie normal. Les problèmes que la plupart des adolescents canadiens confrontent impliquent leurs parents, tandis que pour Alexis, c’était de libérer son peuple des camps de réfugiés et libérer son père de la prison. Donc cet information nous donne un nouvel aspect de ce que les immigrants doivent passer à travers pour seulement avoir une vie simple comme nous avons.
Pour conclure, le livre Alexis, fils de Raphael est un très bon livre pour nous aider à comprendre la vie d’un réfugié. Marie-Célie démontre comment difficile la vie d’un réfugié est et comment il est difficile de s’adapter au mode de vie des gens d’un nouveau pays. On peut maintenant respecter le fait que les réfugiés ont la vie difficile, que c’est compliqué pour eux de vivre une vie simple avec tout les problèmes de racisme, d’exploitation et d’exil qui existent dans notre monde. Plus un pays est multiculturelle, plus ce pays peu être beau et paisible, mais il peut aussi déclencher des conflits entre les différentes cultures.
Le roman Toronto, je t’aime écrit par Didier Leclair a surpris plusieurs individu, l’histoire est mordante. Un été, un jeune Africain du nom de Raymond débarque à Toronto avec seulement une vieille carte postale de la rue Yonge et l’adresse d’un ami d’enfance. Raymond n’a rien à offrir, mais il veut tout de ce que Toronto a à offrir. Une fois arrivé au Canada, il rencontre Bob, Joseph et Koffi, des Noirs comme lui qui connaissent Eddy, l’ami d’enfance de Raymond. Tous avec différentes histoires et différentes opinions sur la vie, Raymond essaye de partager leur point de vue. Néanmoins la vie à Toronto n’est pas si facile pour Raymond. À la fois attirante et séduisante, Toronto le harcelle alors qu’il est encore hanté par son passé. Il ne peut pas arrêter de penser au passé. Il rêve souvent de ses aventures dans son pays d’origine, surtout de son amoureuse Bijoux la généreuse et les moments intimes qu’il a eu avec elle. Un matin, Raymond se fait réveiller par Maria, une jolie femme qui aide les garçons de temps en temps. Maria amène Raymond pour un tour d’auto après l’avoir inviter d’une façon bien inattendue. Raymond a plein de questions sur toutes les activités qui se passent à Toronto et est intrigué par l’habitude des gens qui se promènent presque nues, ou en maillot de bain. Complètement entouré d’émotions et perdu dans l’amour de cette nouvelle ville, Raymond essaye de chasser ses histoires du passé tout en recommençant une nouvelle vie.
Le style et langage interprété par Didier Leclair dans son roman Toronto, je t’aime est complexe mais à la fois facile à comprendre. Le style et le choix de mots que Didier a choisi dans son livre est clairement pour une ou un lecteur d’âge mature puisqu’il y a plusieurs contextes explicites. Similaire au roman de Marie-Célie Agnant, il y a des passages où les explications sont trop longues ce qui rend la lecture difficile. Par contre, pour un lecteur d’un âge plus mature, le roman de Didier peut paraitre plus attrayant que celui de Marie-Célie à cause du contexte, le style et les choix de mots utilisés. « Bijou s’enfonça avec hargne comme pour sonder le tréfonds d’elle-même et je sentis son sexe humide répandre sur ma verge le déluge de son appétit. »(Leclair 26-27) Ceci est un exemple de texte où un lecteur plus jeune qui aurait lu cette phrase ne comprendrait probablement pas ce qui est en train de se produire. Le contexte utilisé dans cet exemple est un peu vulgaire pour expliquer que le personnage principal est en manque de son amour de l’Afrique. Tout ceci peut être démontré d’une façon un peu plus simple et moins vulgaire et n’a rien à faire avec le multiculturalisme.
Comparer au contexte historique dans le livre Alexis, fils de Raphael, celui dans le livre de Didier Leclair est moins précis quant à la réalité. L’histoire racontée dans le roman Toronto, je t’aime est celui de Didier Leclair lui-même. C’est l’aventure que l’auteur à eu quand il était plus jeune, mais on ne peut pas savoir si tout les immigrants d’Afrique suivent la même piste ou soutiennent les mêmes opinions présentées par Raymond dans le livre à propos de Toronto. Le roman présente un contexte pour certains individus, et non pour tout les immigrants, tandis que pour le roman de Marie-Célie, il s’applique pour la grand majorité des immigrants qui passent par les États-Unis avant leur arrivé au Canada. Toronto, je t’aime démontre aussi la vie d’un immigrant qui essaye de fuir son passé pour commencer une autre vie, tandis que Alexis, fils de Raphael, comme mentionné si dessus, est l’histoire d’une famille qui veut qu’un ou des membres de leur famille encore dans leur pays d’origine viennent vivre avec eux. Comparer à l’histoire de Raymond l’africain, Alexis et sa mère Jeanine ont eu beaucoup plus de difficultés que lui. Les seuls défis que Raymond a due surmonter est l’adaptation a un nouveau style de vie des habitants de Toronto et essayer d’oublier son passé bourré de terreurs et d’amours. Dans le livre de Marie-Célie, il y a beaucoup de problèmes et de confusions pour passer d’un pays à un autre, tandis que dans le roman de Didier, il ne mentionne aucun problème d’immigration car il est de nationalité canadienne par sa naissance. «Ce roman est l’histoire d’une quête vers un avenir meilleur, il raconte l’histoire de cet immigrant qui arrive seul et doit vite s’adapter.»¹ (Didier Leclair) C’est ce que l’auteur constate et c’est le grand problème chez Raymond. Didier s’identifie à cette histoire, sauf que la seule différence est qu’il est né au Canada et a vécu sa jeunesse entre le Bénin et le Gabon. Au fait, Didier ne voulait pas identifier les problèmes que l’immigrant aurait, mais plutôt identifié les qualités que présente la ville de Toronto. Son message dans le livre est que lorsqu’il est revenu de l’Afrique pour découvrir Toronto, il n’était pas prêt, il se pensait toujours en Afrique et aurait aimé voir les mêmes choses qu’en l’Afrique. Il a vu une ville où toutes les cultures vivent côte à côte, sans problèmes. Le message a très bien été compris quand Didier Leclair est allé faire un discours à l’école du Collège Français. Ce message est bien présenté dans son livre et c’est pourquoi le roman de Marie-Célie Agnant Alexis, fils de Raphael est tellement différent. Les deux livres présentent des opinions différentes ; un livre montre les problèmes qu’il y a avec les immigrants et l’autre montre les belles qualités d’une ville et l’harmonie entre les différentes cultures. Le fait que le personnage principal ne peut pas oublier son passé en Afrique, incluant les moments intimes qu’il a eu avec Bijou son amour, n’a rien à voir avec le multiculturalisme. Le message de Didier Leclair montre l’interaction et l’harmonie entre les différentes cultures dans la ville de Toronto.
En général, le roman Toronto, je t’aime est un roman très bien écrit qui ouvre nos yeux pour mieux comprendre la situation des immigrants qui arrivent dans un nouveau pays avec absolument rien en poche. Par contre, il n’a pas beaucoup de problèmes situés au personnage principal du livre, mais plutôt une description de la ville qu’il habite et les gens qu’il côtoie. Il y a des passages dans le livre qui n’ont aucun rapport avec le multiculturalisme et est expliqué d’une façon inattendue et pas très nécessaire. Il y a beaucoup de sauts dans le temps entre les chapitres et il y a plusieurs chapitres. Une fois que l’histoire commence à se dérouler et avance rapidement dans l’action, l’histoire change avec un nouveau chapitre qui nous ramène dans le temps ou nous situe dans un autre lieu. Le message de Didier Leclair est présent dans toutes les nouvelles aventures de Raymond à Toronto et est très claire pour le lecteur.
Le thème du multiculturalisme est présent dans les deux travaux de littérature ci-dessus. La seule différence est que dans le livre Alexis, fils de Raphael, le multiculturalisme est présenté à travers un pays, tandis que dans le livre Toronto, je t’aime, il est présenté à travers une ville. On peut voir dans le roman de Marie-Célie Agnant la différence qu’apporte le multiculturalisme au Canada en comparaison avec les États-Unis. Au Canada, le multiculturalisme, ou l’immigration n’est pas traité comme une règle générale, mais il est plutôt évaluer cas par cas. Tandis qu’au États-Unis, il est traité plus généralement. Tous les immigrants sont traités de la même manière. On peut démontrer cela avec des exemples du livre. Lorsque qu’ils étaient aux États-Unis, Alexis et sa mère ont essayé plusieurs fois de libérer Raphael, le père d’Alexis, mais à cause des agents d’immigrations à Miami, ils n’ont jamais eu le droit de faire les démarches pour l’amener vivre avec eux. Une fois arrivé au Canada par contre, avec l’aide de l’oncle Étienne qui les a parrainer et un comité construit par les nouveaux ami(e)s d’Alexis, ils libèrent Raphael et finalement leur prières sont exhaussées. Si le Canada n’était pas aussi ouvert aux immigrants, il ne serait pas un pays aussi riche en cultures et ne serait pas une place idéale pour les immigrants ou les réfugiés de mer comme Alexis et sa mère.
Le Canada a la réputation d’être une nation multiculturelle. Cela signifie que les Canadiens n’ont pas les mêmes origines raciales ou culturelles, ils ne partagent pas un héritage unique. Le Canada d’aujourd’hui comprend une vaste diversité culturelle et raciale, qui est le résultat de plusieurs siècles d’immigration. Cela ne veut pas dire que la grande majorité des canadiens actuels sont des immigrés ; moins de 16% des citoyens d’aujourd’hui sont nés à l’étranger. Cela ne veut pas dire que l’immigration au Canada est ouverte à tous, au contraire des États-Unis, le statut d’immigrant au Canada est un privilège et non un droit.
La représentation de la réalité francophone qui se dégage dans le livre Alexis, fils de Raphael est très claire une fois qu’ils immigrent au Canada. Quand Alexis et sa mère Jeanine ont l’autorisation de se faire parrainer par l’oncle Étienne à Montréal, la différence dans l’utilisation de la langue française est remarquable. Quand ils habitaient à Miami, Alexis et sa mère avaient beaucoup de difficulté à comprendre les gens parce qu’ils parlaient l’anglais, une langue que, surtout Jeanine, avait de la difficulté à suivre. Alexis commençait à se débrouiller très facilement avec l’anglais, mais il n’en a plus besoin parce que lorsqu’il arriva à Montréal, au Québec, il découvre que la communauté est surtout française. Québec est une province où la très grande majorité des habitants parlent français comme langue première. Il est donc surpris à son arrivé par le nombre de francophone qui habitent à Montréal. Malheureusement, dans le livre Toronto, je t’aime, on ne retrouve pas la même représentation francophone. Raymond arrive à Toronto en parlant le français et l’auteur ne mentionne pas qu’il a de la misère parce qu’il ne comprend pas ou ne parle pas l’anglais. Aussi, Toronto n’est pas une place où la langue principale est le français, mais plutôt une ville anglophone où on y parle plusieurs langues. Didier Leclair ne mentionne pas non plus dans son livre les différents groupements francophones qui sont présents dans la ville de Toronto, et Raymond a surement retrouvé un de ces groupes car il ne mentionne pas aucun problème avec les différentes langues. À présent, je me situe dans une des nombreuses régions francophones des environs de Toronto. Bien sur, ces régions francophones sont bien dispersées mais ils sont bien représentés à travers Toronto. Je fais aussi partie des groupes francophone qui se situe au Québec puisque mes parents sont originaires de cette province francophone et on la visite souvent.
En conclusion, le multiculturalisme est présent dans les deux œuvres mentionnés ci-dessus ainsi que partout autour de nous. La francophonie est aussi présentée dans les deux œuvres lues et nous le vivons.

Bibliographie
Agnant, Marie-Célie. Alexis, fils de Raphael. Éditions Hurtubise HMH Itée.
Montréal, 2000.
Leclair, Didier. Toronto, je t’aime. Éditions du Vermillon, Ottawa, 2000.
http://www.mta.ca/faculty/arts/canadian_studies/francais/realites/multi/
http://parfumdelivres.niceboard.com/t6895-marie-celie-agnant-haiti
http://www.productionsrhizome.org/extraits/USLV_docpromo_web_2011. pdf

¹ http://www.lexpress.to/archives/2032/

mardi 14 juin 2011

Intro

Le canada de nos jours présente une grande variété de culture et est une place primordiale pour les immigrants. C’est avec tous ces immigrants que le Canada est maintenant rendu un pays très multiculturalisme. Dans les romans Alexis, fils de Raphael, et Toronto, je t’aime, le multiculturalisme est présenté à travers des immigrants de l’Haïti et de l’Afrique qui découvre un nouveau monde au Canada et doivent surmonter des obstacles. Ils découvrent en surmontant ces obstacles les différents mode de vie et les différentes cultures rassembler au Canada. La réalité qu’ils découvrent, sans vraiment s’en apercevoir ou le mentionner c’est que le Canada est un grand regroupement de différent culture.